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UNE PAUSE ENTRE

LA VILLE ET LA MER

L'HISTOIRE

D'UN HÔTEL, 

D'UN SYMBOLE

L'hôtel du Saint-Georges Beyrouth possède une riche histoire qui remonte à plus d'un siècle. Il a été construit en 1932, sur le front maritime de Beyrouth. C'est la société des grands hôtels du Levant avec les architetces Poirrier, Bordes et Tabet qui le construit pendant l'époque du mandat francais au Liban. À l'époque, Beyrouth était une destination prisée par les voyageurs internationaux.

Le Saint-Georges a rapidement acquis une réputation de luxe étant fréquenté par des des célébrités et des dignitaires du monde entier. Cependant en 1975, l'hôtel a été lourdement touché par les combats de la guerre civile et a subi des dommages importants.

UN HÔTEL EN BORD DE MER

Bienvenue au Saint Georges, l'hôtel en bord de mer à Beyrouth, où le confort et l'élégance se rencontrent dans un cadre enchanteur. Situé sur la magnifique côte méditerranéenne, notre hôtel offre une vue imprenable sur la mer et un centre balnéaire incomparable.

Notre emplacement privilégié vous permettra de découvrir facilement les attractions emblématiques de Beyrouth. Que vous souhaitiez explorer les sites historiques, vous promener dans les ruelles animées ou profiter de la vie nocturne animée de la ville, tout est à portée de main.

STOP SOLIDÈRE 

La bataille entre Solidère et le Saint-Georges Beyrouth est un conflit emblématique qui a émergé au cours des années de reconstruction après la guerre civile libanaise de 1975. Solidère, acronyme de Société Libanaise pour le Développement et la Reconstruction de Beyrouth, est créée en 1994 pour superviser la reconstruction du centre-ville, dévasté par la guerre.

L'essence du conflit commence par un désaccord sur l'intervention sur le Saint Georges dans le plan de reconstruction et le développement urbain de la zone. Solidère avait pour objectif de moderniser le centre-ville en y appliquant la 'table rase'. Entre Solidère et le Saint-Georges, des débats publics, des pressions politiques ont eu lieu.
Le Saint-Georges Beyrouth, étant un hôtel de l'âge d'or de la ville, était considéré comme un symbole de l'identité culturelle de Beyrouth. Il reflète la guerre mais est aujourd'hui surtout le symbole d'une lutte contre la bataille immobilière qui agite Beyrouth depuis les 90s. Enfin, sa destruction suscitait une forte opposition de la part de ceux qui cherchaient à préserver le patrimoine historique de la ville. Une pancarte 'STOP SOLIDERE' fut étalée sur sa facade pour contester les chantiers en cours.

UNE RENCONTRE CULTURELLE

L'hospitalité libanaise est incomparable. Le pays des cèdres a poussé l'hospitalité à son paroxysme, pour en faire un art de vivre. Elle s'illustre partout, en famille, entre amis...

Une invitation culinaire se transforme en une démonstration colorée : une multitude de petits plats typiques envahissent la table et les coeurs. 


Dans l'école hôtelière perchée sur le Saint Georges, c'est avec simplicité, plaisir et dévouement qu'elle accueille, propose des programmes et enseigne cet art à ses étudiants. Lieu d'apprentissage théorique, elle permet à ses apprentis la pratique dans un hôtel 5 étoiles à renommée mondiale. Chaleur et hospitalité sont les principales valeurs du peuple libanais et devraient être aussi la clé d'une lutte réussie.

BATIMENT 

BIOCLIMATIQUE

Le bâtiment répond parfaitement à l'aspect bioclimatique de Beyrouth. En effet, à part les claustras, les auvents et les balcons dégagées, il abrite un type de 'tour à vents' qui permet de rafraîchir et ventiler l'hôtel de façon naturelle. Beyrouth étant une ville méditerranéenne, il participe ainsi à la réduction de l'empreinte carbone. Il suffit d'une bonne conception des espaces et de leur qualité spatiale pour offrir un tout aux visiteurs.

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